Le glossaire des substances controversées

Peut-être avez-vous des questions sur la composition de certains de nos produits ? Peut-être avez-vous lu des informations qui auraient pu semer le doute en vous ?

Que dit la recherche scientifique sur les additifs ? Notre référent qualité vous aide à y voir plus clair à travers ce glossaire complet.

 

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A

Acésulfame K :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Édulcorant utilisé dans l’alimentation et les compléments alimentaires, son autorisation date de 1988, sur la base d’études lacunaires et majoritairement financées par le fabricant. Depuis, des expérimentations animales et divers travaux ont amené des structures comme l’ARTAC (Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse) à le classer notamment cancérigène probable. Les principales problématiques mises en évidence sont l’hypoglycémie, les tumeurs aux poumons, une hausse du cholestérol et des leucémies. Il est malgré tout bien présent sur le marché : chewing-gums, boissons, pâtisseries industrielles, remèdes homéopathiques, etc.

Autres noms, d’après l’International Nomenclature of Cosmetic Ingredients (INCI) : Acésulfame K, Acésulfame potassium, E950 

Alkylphénols :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Utilisés comme émulsifiants dans les cosmétiques, crèmes thérapeutiques, crèmes à raser, shampooings, mais aussi tuyaux PVC, peintures, pesticides, ils sont reconnus comme perturbateurs endocriniens avérés, ayant un impact sur la fertilité, stimulant les cellules cancéreuses du sein (4-octylphénol), ayant un impact sur les organes reproducteurs, et agressifs pour le fœtus. L’un d’entre eux, le nonylphénol (œstrogène-like) est également utilisé dans les spermicides, puisqu’il est capable d’altérer la qualité du sperme… et peut possiblement provoquer des dégâts sur l’ADN. Composés persistants et particulièrement toxiques pour les milieux aquatiques, on les retrouve dans l’air et la poussière, surtout des maisons neuves avec équipements en PVC.

D’après l’INCI : Nonylphénol, Octyphénol, Propylphénol, Nonoxynol, Amylphénol, Dodécylphénol, Heptylphénol, Ethylphénol…

Aluminium :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Les sels d’aluminium permettent de resserrer les pores de la peau et de bloquer ainsi la transpiration. Mais une partie peut traverser la barrière cutanée, et exercer une influence non négligeable sur le développement de pathologies comme Alzheimer, dégénérescences neurologiques, cancers du sein, myofaciite à macrophages, et autres joyeusetés. L’aluminium est un toxique nerveux, les particules ayant pénétré l’organisme se fixent pour une bonne partie dans le cerveau (et aussi dans les muscles chez certains individus), la concentration augmente tranquillement, jusqu’au déclenchement des troubles. La voix officielle recommande d’éviter son application sur une peau irritée, lésée, ou fraîchement rasée ou épilée (micro-coupures qui augmente l’absorption de l’aluminium) …. Mais comment est-il possible d’en retrouver jusque dans des crèmes pour bébé ! ? C‘est sans compter les innombrables sources (emballages alimentaires qui relarguent, additif alimentaire utilisé comme poudre à lever, laits infantiles, adjuvant des vaccins, cosmétiques, etc). Les silicates, oxydes et hydroxydes (et dans une certaine mesure stéarates) sont considérés inertes (ne libérant pas l’aluminium) et donc sans danger potentiel. On trouve certaines de ses formes dans les argiles par exemple, de façon naturelle.

Même famille, mêmes effets, on peut trouver dans la formule INCI :Aluminium chlorohydrate, Aluminium sulfate, Aluminium oxyde, Aluminium stearate, Aluminium sesquichlorohydrate

Ammoniums quaternaires (quats) :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Utilisés pour remplacer le silicone dans les cosmétiques capillaires mais pas seulement, joue un rôle d’émulsifiant, de conservateur, d’antistatique et de démêlant. Occlusifs pour les pores de la peau, capables de provoquer des nécroses tissulaires même à faible concentration. Procédé de fabrication polluant, et les « quats » ne sont pas biodégradables.

On reconnaît les ammoniums quaternaires parce que leur nom contient « -monium », « -chloride », « bromide », « quaternium -», « polyquaternium -».

D’après l’INCI : CTAC (Cetyl triméthyl ammonium chlorure), DSDMAC (Quaternium-5), Hydroxypropyl guar hydroxypropyltrimonium chloride, Quaternium-15, Cetrimonium bromide, Polyquaternium-10, Behentrimonium methosulfate, Chlorure de behentrimonium, …

Aspartame :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Édulcorant portant le code E951, passons sur le parcours de sa mise sur le marché, jalonné de décisions contradictoires lors de changements gouvernementaux, et autres conflits d'intérêts. Les études sur animaux ont montré des risques dose-dépendants de tumeurs malignes (lymphomes, leucémies, cancers du foie, du cerveau et du sein) ; certaines études appuient sur la cancérogénicité à doses proches des VNR. Ses effets neurotoxiques et sa capacité à franchir la barrière hémato-encéphalique sont maintenant admis. Lors de sa métabolisation, l'aspartame libère notamment son groupement hydroxyméthyl seul (du méthanol, un alcool toxique), qui devient, pour partie, du formaldéhyde (un composé cancérigène), et responsables de lésions, voire de destructions du nerf optique ; également capable de former des adduits à l'ADN (des molécules qui se fixent sur des sites de l’ADN). Ces adduits à l’ADN ont un caractère mutagène et cancérigène.

B

Benzoate de sodium :

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Conservateur étiqueté E211, présent dans la nature de manière limitée (quelques baies…), il est obtenu par chimie de synthèse par différents biais (à partir de toluène, de trichlorobenzène, d’acide nitrique, de naphtalène…). Il est soupçonné de générer de l’hyperactivité chez l’enfant, de provoquer des effets nocifs sur le foie (cirrhoses) ou le cerveau.

BHA, BHT : (Butylhydroxyanisole et Butylhydroxytoluène)

Substances controversées : aucun de nos produits n’en contient

Antioxydants utilisés dans les matières lipidiques (additifs présents dans les matières grasses), entrainant des modifications de la formule sanguine (la composition du sang), des atteintes du système immunitaire, de la thyroïde, des reins et du foie ; contaminent le fœtus ; interfèrent avec les fonctions hormonales ; nocifs pour la faune (en particulier aquatique), potentiel de bio-accumulation élevé.

D’après l’INCI : Buthylhydroxytoluène, Buthylhydroxyanisole, BHA, BHT, Hydroxyanisole butylé, Hydroxytoluène butylé

C

Composés éthoxylés et propoxylés :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Fabriqués par éthoxylation : ce procédé nécessite l’utilisation d’un gaz extrêmement toxique, cancérigène, mutagène et très réactif : l’oxyde d’éthylène. Pour information, ce gaz est également utilisé en tant qu’arme de guerre chimique ! Évidemment, cette opération doit être réalisée sous des températures et des conditions de pression très importantes, processus lourds et extrêmement polluants. L’oxyde d’éthylène n’est plus présent (ou quasi) dans le produit fini, mais selon le mode de fabrication (extraction sous vide ou pas, très difficile impossible à savoir) il persiste du 1,4-dioxane (en quantité mesurable), lui-même classé cancérigène potentiel, et persistant dans l’environnement. Par ailleurs, les composés éthoxylés sont peu biodégradables, et particulièrement agressifs pour le milieu aquatique.

On reconnaît les composés concernés par l’éthoxylation parce que leur nom contient « -eth », « hydroxyéthyl- » , PEG, PPG, « hydroxypropyl -», « -oxynol ».

D’après l’INCI : Sodium laureth sulfate, Hydroxyéthylcellulose, PEG-7 glyceryl cocoate, Buteth, Octoxynol, Myreth, Butoxynol, Ceteareth, Talloweth, PEG-100 stearate, Beheneth, … Mais aussi : Polysorbate-20, Polysorbate-60, …

D

Dioxyde de silicium nano :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Utilisé dans l’alimentation et les compléments alimentaires, il est agressif pour l’ADN (« très faible niveau de lésion »), et donc augmente le risque de cancérose.

Dioxyde de titane :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

E171, utilisé comme opacifiant (gélules entre autres), sa forme micrométrique pose des problèmes d'irritation oculaire et pulmonaire. Sous forme nanométrique sa toxicité est beaucoup plus large : le CIRC l'a classé cancérigène probable pour l'être humain. Des rats exposés régulièrement à ce composé ont développé des inflammations pulmonaires chroniques, une chute du taux d'antioxydants, des fibroses tissulaires et des proliférations cellulaires. C'est sans compter sa génotoxicité (capacité à endommager l'ADN) observée dans de nombreuses études, ainsi que son inhibition de la réparation du génome. Des expériences in vitro réalisées par des chercheurs du CEA et de l’université Joseph Fournier ont montré qu’il altérait la barrière hémato-encéphalique.

E 

EDTA : (Ethylene-Diamino-Tetra-Acetate = Acide diaminotétracarboxylique) :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Utilisé pour stabiliser les préparations (beaucoup dans les savons), car il a un pouvoir chélateur des métaux (il les piège en s’y accrochant), les réactions enzymatiques ou bactériennes nécessitant l’utilisation d’un métalloïde ne peuvent pas avoir lieu et le produit se conserve mieux. L’EDTA est également capable de se fixer dans l’organisme (avec ses métaux), et les stations d’épuration ne l’éliminent pas, on le retrouve donc dans les rivières, les lacs, et les océans. N’étant pas filtrable, il se retrouve en fin de compte dans l’eau du robinet. Sert également de conservateur alimentaire (vinaigrettes, mayonnaises, légumes en boîte), pouvant provoquer des désordres intestinaux, des troubles de la coagulation, une mauvaise assimilation des minéraux. Additif interdit en Australie.

D’après l’INCI : Disodium EDTA, Trisodium EDTA, Dipotassium EDTA, Calcium Disodium EDTA, Tetrasodium EDTA, EDTA-Copper, …

F

Formaldéhyde et libérateurs de formaldéhyde :

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Présents en tant que conservateurs dans les gels douches, shampooings, matières plastiques, revêtements de sol vinyliques, teintures, dentifrices… Le formaldéhyde est un allergisant, un mutagène et un cancérigène notoire. Son association (fréquente) avec des amines (MEA, DEA, TEA) provoque une libération de nitrosamines, des substances elles-mêmes cancérigènes reconnues.

D’après l’INCI : Formol, Paraform, Formic aldehyde, Methyl aldehyde, Sodium hydroxymethylglycinaye, Méthénamine, Bronidox, Chloroxylenol, Chlorphenesin, Oxymethylene, Oxomethane, Methylene oxyde, MDM Hydantoine, Diazolidinyl urea,  Imidazolidinyl urea, …

G

Glycols et Ethers de glycol :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Solvants massivement utilisés dans de nombreux domaines : peintures, vernis, colles, compléments alimentaires, cosmétiques, produits ménagers... Allergisants, neurotoxiques, traversent la peau et le placenta, suspectés fortement d’être cancérigènes et responsables de troubles de la reproduction.

D’après l’INCI : PEG, PPG, Polyéthylène glycol, Polypropylène glycol, Propylene glycol, Butylene glycol, Pentylene glycol, Phénoxyéthanol, EGphE, Phénoxytol, …

H

Huiles minérales :

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Huiles dérivées du pétrole, comme l’huile de paraffine par exemple. En externe, elles sont occlusives pour les pores de la peau, et ne présentent intérêt « nutritif » contrairement aux huiles végétales. Suspecté de déposer des biofilms sur la muqueuse intestinale, qui limitent l’assimilation de vitamines.

D’après l’INCI : Petrolatum, Paraffinum liquidum, Ceresin, Huile de paraffine…

 

I

J

K

L

M

MEA, DEA, TEA, MIPA : (Monoéthanolamine, Diéthanolamine, Triéthanolamine, Monoisopropylamine) 

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Utilisées comme émulsifiants, émollients, ou tensioactifs, les amines peuvent, en présence d’autres composés (notamment les nitrites et les libérateurs de formaldéhyde) générer des nitrosamines, composés cancérigènes avérés. Les amines sont nocives pour la faune terrestre et aquatique. Expérimentations en laboratoire : l’exposition à de fortes doses de DEA provoque des cancers du foie et des altérations précancéreuses de la peau et de la thyroïde.

D’après l’INCI : Lauramide MEA, Soyamine DEA, TEA-Carbomer, Dimethyl MEA, Cocamide MEA, Cocamide MIPA, TEA Lauryl Sulfate, TEA-Sulfate, TEA-Palmitate, TEA Cocoyl Glutamate, … Bref, tout ce qui contient MEA, DEA, TEA, MIPA.

N

O

P

Parabènes :

Substances controversées : aucun de nos produits n’en contient

Conservateurs à large spectre, les parabènes sont des perturbateurs endocriniens majeurs, pénétrant facilement dans l’organisme. Il y a des spécificités pour certains, par exemple le méthylparabène appliqué sur la peau réagit avec les UVB, provoquant un vieillissement cutané accéléré, endommageant l’ADN.

D’après l’INCI : Butylparaben, Methylparaben, Propylparaben, Ethylparaben, Isopropylparaben, P-hydroxybenzoate, N-butyl P-hydroxybenzoate, Parahydrobenzoate de propyle, Parahydrobenzoate de méthyle…

Phtalates :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Produits d’origine pétrochimique, ce sont des perturbateurs endocriniens reconnus : baisse de la fertilité, puberté précoce chez les filles, malformations des organes génitaux chez les nouveau-nés, cancers hormono-dépendants, obésité, problèmes thyroïdiens, accouchements prématurés. Les phtalates ont la propriété d’assouplir les plastiques et de stabiliser les parfums, on en retrouve donc dans beaucoup de produits : jouets, contenants alimentaires en plastique, produits de soins, cosmétiques, revêtements de sol vinyliques, rideaux de douche, habitacles des automobiles, matériel médical (sacs de sang ou de soluté, gants, tubulures), etc. En présence de chaleur ou de matière grasse, les phtalates passent du contenant dans l’aliment. Nocives pour l’environnement, et capables de traverser la peau.

D’après l’INCI : Parfum, Fragrance, DIDP (Diisodecylphtalate), DEP (Diéthylphtalate)

Précision : tous les « parfum » ou « fragrance » dans l’INCI ne sont pas des phtalates.

Q

R

S

Silicones :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Présents dans les préparations à usage externe et cosmétiques (shampooings, déodorants), ils sont occlusifs pour les pores de la peau, extrêmement peu biodégradables, et s’accumulent dans l’environnement. Pour le moment considérés comme inerte biologiquement. D’autres les soupçonnent d’être des perturbateurs endocriniens (notamment le Cyclopentasiloxane, et le Cyclotetrasiloxane). 

D’après l’INCI : Diméthicone, Diméthiconol, Cyclométhicone, Aminopolysiloxane, Dimethylpolysiloxane, Phényldiméthicone, Cyclopentasiloxane, …

Stéarate de magnésium :

Substance sûre : découvrez l’analyse de notre référent Qualité

Antiagglomérant immatriculé E572, sa large utilisation dans le domaine des compléments alimentaires permet de travailler plus facilement les poudres dans les machines. Le stéarate de magnésium est constitué d’acide stéarique et de magnésium liés l’un à l’autre. Il circule beaucoup d’informations plus ou moins erronées au sujet de ce composé et que l’on retrouve dans des compléments alimentaires.

Pourtant, l’acide stéarique est un acide gras saturé à chaîne moyenne, stable face à l’oxydation. Il est présent dans de nombreuses sources naturelles : par exemple dans le lait maternel (7,7%), dans les noix du Brésil (5,9%), dans de nombreux fromages, dans le chocolat ou encore dans l’huile de coco.

Il paraît aberrant d’imaginer que la Nature ait fait le choix de tolérer un composé diminuant l’immunité dans le lait maternel ! C’est pourtant le genre d’informations que l’on peut trouver sur internet.

La vérité est que cette affirmation se base sur une étude in vitro réalisée sur des souris (chez lesquelles on a observé une altération de l’activité lymphocytaire en mettant en contact ces cellules immunitaires avec de l’acide stéarique) : seulement, l’organisme de la souris ne possède pas les enzymes nécessaires à la métabolisation de l’acide stéarique, contrairement aux cellules humaines !

On lit également que le stéarate de magnésium favorise le développement d’un biofilm intestinal et inhibe l’absorption des vitamines hydrosolubles par l’intestin (notamment les vitamines du groupe B) : difficile d’admettre un tel effet quand nombre de scientifiques s’accordent à dire que le stéarate de magnésium est clivé dans l’estomac… et n’arrive donc pas en tant que tel dans l’intestin. Par ailleurs, les biofilms intestinaux sont des structures extrêmement complexes constituées de nombreuses bactéries, très organisées et avec des réseaux de communication.

Aucune publication scientifique à ce jour ne permet d’affirmer que le stéarate de magnésium encourage le développement de telles structures. Encore une fois, considérant l’intelligence de la vie, comment une substance nuisible à la flore intestinale pourrait-elle être présente dans le lait maternel, destiné au nourrisson, qui est justement en pleine construction de son écosystème digestif !

La Vie Naturelle considère donc que les propos alarmistes sur le stéarate de magnésium ne sont aucunement fondés, et choisit de ne pas se faire le relai de ces rumeurs.

Sulfates :

Substances controversées : aucun de nos produits n’en contient

Utilisés comme tensio-actifs dans les produits lavants (shampooings, gels douches, dentifrices), elles sont irritantes et élimine la couche de protection cutanée (film hydro-lipidique et flore saprophyte). Toxiques pour les organismes aquatiques.

D’après l’INCI : Sodium Lauryl Sulfate, Sodium Laureth Sulfate, Ammonium Lauryl Sulfate, Ammonium Laureth Sulfate, …

T

Talc :

Substance controversée : Nous évitons de référencer des produits en contenant, car selon les gisements, on peut retrouver cinq sortes de fibres asbestiformes (structures géologiques similaires à l’amiante et posant les mêmes problèmes). À l’heure actuelle, aucun contrôle n’est effectué sur l’importation. 

Thiazolinones :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Souvent utilisés en remplacement des parabènes, ils en sont en fait les dignes héritiers. Allergisants et irritants, ce sont également des libérateurs de formaldéhyde.

Dans l’INCI : MIT, Méthylisothiazolinone, MCI, Méthylchloroisothiazolinone

Triclosan :

Substance controversée : aucun de nos produits n’en contient

Utilisé comme antibactérien, antifongique… C’est un conservateur, présent du savon aux lingettes démaquillantes, en passant par des dentifrices, des crèmes à raser, des lotions hydratantes, des bains de bouche, et autres. C’est un costaud : il endommage la flore bactérienne (donc atteinte immunitaire), perturbe la thyroïde et le système endocrinien, agressif pour le foie et les muscles, on peut en retrouver chez l’être humain dans le sang, l’urine, et le lait maternel. Ce n’est pas tout, il se dégrade en composés cancérigènes, persistants, qui s’accumulent dans l’organisme. Également toxique pour la faune et la flore.

D’après l’INCI : Triclosan, Trichloro-3,4,4’ carbanilide, Trichlorine-2, 2,4,4’-trichloro-2’hydroxy-diphenylether, Cloxifenolum, Irgasan, Aquasept, TCL, Lexol 300, Gamophen, …

U

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W

X

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Z