Tout savoir sur l'apnée du sommeil

L’apnée du sommeil impacte la respiration nocturne en engendrant des pauses respiratoires de 10 à 30 secondes en moyenne, et se répétant plus de cinq fois par heure. Ce phénomène peut toucher aussi bien les adultes que les enfants.

Si, généralement, les apnées ne sont pas ressenties, elles détériorent grandement la qualité de vie des personnes atteintes et peuvent avoir des conséquences importantes à long terme.

Quels sont les causes et les facteurs de risque des apnées du sommeil ? Quels sont les moyens dont dispose la médecine afin de la reconnaitre et quels sont les solutions actuelles ? Les réponses à ces questions se trouvent dans cet article !

Qu’est-ce que l’apnée du sommeil ?

L'apnée du sommeil (SAS) est caractérisée par une respiration anormale durant le sommeil. Cette respiration est anormalement et fréquemment interrompue ou réduite (phénomène d’apnées et d’hypopnées) durant le sommeil. Les arrêts complets de la respiration peuvent durer jusqu’à 30 secondes et survenir plusieurs dizaines de fois par heure. Pour la reprise d’une respiration normale, il est nécessaire de se réveiller, ce qui perturbe ainsi la qualité du sommeil.

Les trois types d’apnée du sommeil

Il existe trois types d’apnées du sommeil :

  • l'apnée obstructive du sommeil (SAOS) ;
  • l'apnée centrale du sommeil ;
  • l'apnée du sommeil mixte (ou apnée mixte).

Ces trois types se distinguent par des mécanismes d’action différents, détaillés ci-dessous :

L'apnée obstructive du sommeil (SAOS)

Il s’agit de la forme la plus courante d’apnée du sommeil. En effet, sur 10 personnes touchées par l’apnée du sommeil, 9 personnes sont concernées par le SAOS.

L'apnée obstructive du sommeil est dû à un rétrécissement du pharynx qui diminue ou bloque la respiration puisque l’air ne peut circuler normalement. L’obstruction des conduits respiratoires peut être partielle, c’est-à-dire que l’air parvient à circuler, mais difficilement. De forts ronflements apparaissent.

L’obstruction peut aussi être totale : c’est le principe de l’apnée. Un micro-réveil est alors nécessaire pour retrouver une respiration normale, il est provoqué par le cerveau qui induit un message réflexe pour relâcher les muscles du pharynx. Les micro-réveils sont rarement ressentis par les personnes. Néanmoins, le sommeil est très saccadé, les nuits ne sont plus réparatrices et les conséquences sur la qualité de vie se font ressentir.

L'apnée centrale du sommeil

L'apnée centrale du sommeil est liée à une cause neurologique, il s’agit d’une forme plus rare. C’est un dysfonctionnement de la commande respiratoire du cerveau, celui-ci n’émet pas de signal aux muscles impliqués de se contracter, ce qui va bloquer la respiration.

L'apnée du sommeil mixte

Cette forme d’apnée du sommeil associe les deux formes précédemment évoquées : le SAOS et l’apnée centrale du sommeil.

Le phénomène d’apnée débute par une apnée centrale (cause neurologique), suivie par un mécanisme obstructif des voies respiratoires.

Comment savoir si on fait de l’apnée du sommeil ?

Le plus souvent, les personnes concernées ne s’en rendent pas compte. On estime en effet qu’environ 80% des individus concernés ne le savent pas ! En général, c’est le ou la conjoint(e), souvent réveillé(e) par les ronflements, qui constate la présence de troubles respiratoires et finit par alerter sur un éventuel problème.

Avant de poursuivre la lecture, nous précisons que ce contenu vous est proposé à titre informatif, mais qu’il ne permet pas d’établir un diagnostic. En cas de doute, consultez toujours votre médecin.

Les manifestations

Durant la nuit, on constate une sensation d’étouffement et un sommeil agité. Dans la journée, plusieurs signes peuvent évoquer une apnée du sommeil. Le sommeil étant peu réparateur, vous pouvez vous sentir fatigué dès le réveil, souffrir de maux de tête, manquer d’énergie, avoir des troubles de la concentration.

Certaines personnes ressentent également leur libido baisser. Il est également possible de somnoler ou de s’endormir de manière incontrôlée durant la journée.

Différencier apnée du sommeil et ronflement

Il est possible de souffrir d’apnée sans pour autant ronfler, et inversement. Ronflements et apnées ne doivent pas être confondus. En effet, les ronflements n’impliquent pas un mécanisme d’obstruction du pharynx, il s’agit simplement d’une vibration de la luette et du voile du palais lorsque l’air circule au niveau du pharynx. Les ronflements ne sont d’ailleurs pas considérés comme réellement problématiques, ils n’impliquent pas de pauses ou d’arrêts de la respiration.

Le diagnostic médical de l’apnée du sommeil

L’évaluation médicale de votre risque d’apnée du sommeil

Il existe plusieurs tests permettant d’évaluer votre risque d’apnée du sommeil :

le test STOP-BANG, encadré médicalement, qui comporte 8 questions

l’échelle de somnolence d’Epworth, qui est un test à réaliser soi-même permettant de mesurer votre risque d’assoupissement dans une situation donnée.

Attention, aucun de ces deux outils ne permet d’établir un diagnostic, ils mesurent uniquement le risque.

Examens de diagnostic

Une fois ces deux tests effectués chez votre médecin généraliste, vous obtenez un total de points qui permet de suspecter ou non l’apnée du sommeil. Il pourra alors vous orienter vers un spécialiste du sommeil, qui réalisera à son tour des examens plus avancés pour vérifier la présence d’un éventuel trouble.

Le diagnostic repose sur deux examens spécifiques :

  • L’examen polysomnographique du sommeil : c’est le principal outil permettant de valider ou d’exclure le diagnostic d’apnée du sommeil. Cet examen est réalisé pendant une nuit de six heures minimum et enregistre l’activité cérébrale, l’activité musculaire, le rythme cardiaque, la respiration et les mouvements des yeux.
  • L’examen polygraphique ventilatoire : il enregistre les données respiratoires, cardiaques et le taux d’oxygène dans le sang. Il s’agit là d’un examen simplifié notamment utilisé pour la confirmation d’un diagnostic ou pour évaluer l’efficacité d’un traitement.

Quelles sont les conséquences de l'apnée du sommeil ?

Comme évoqué précédemment, les micro-réveils provoqués par les apnées du sommeil sont rarement ressentis par les personnes affectées, toutefois leurs conséquences sont sérieuses et ne doivent pas être ignorées. La qualité de vie des personnes concernées est largement dégradée.

Conséquences à court terme

Fatigue

Il s’agit de la première conséquence remarquée. En effet, la qualité du sommeil est diminuée à cause des nombreux arrêts de la respiration et des micro-réveils. Le sommeil est fragmenté, et n’est donc plus réparateur.

La fatigue peut être ressentie dès le réveil, la journée devient alors une véritable lutte pour rester éveillé.

Généralement, à cette fatigue s'ajoutent divers signes classiques : irritabilité, agressivité, changements d’humeur… Les relations sociales ainsi que la vie conjugale et familiale peuvent être impactées négativement.

Diminution de l’attention, risque d’accidents de la route

Cette conséquence découle de la fatigue causée par les micro-réveils. En effet, les personnes souffrant d’apnées du sommeil ressentent la fatigue dès le matin, et ce tout au long de la journée. La fatigue quotidienne va laisser apparaître certaines difficultés dans la vie de tous les jours : troubles de la concentration et de l’attention, diminution des capacités intellectuelles et des réflexes.

Ces difficultés peuvent aussi se ressentir au volant, où il est compliqué de conserver son attention et ses réflexes. Chez certaines personnes, la fatigue est si intense qu’il peut leur arriver de somnoler au volant, voire de s’endormir totalement. Les adultes atteints du syndrome d’apnée du sommeil ont effectivement davantage de risques d’être victimes d’un accident de la route.

Conséquences à long terme

Dépression

1 personne sur 5 souffrant d’apnée du sommeil est également atteinte de dépression.

Les conséquences à court terme de l’apnée du sommeil : fatigue, irritabilité, dégradation des relations sociales (entre autres) diminuent de manière globale la qualité de vie des personnes qui sont exposées à un risque d’isolement, et donc de dépression et de troubles cognitifs.

Maladies cardiovasculaires

Durant la nuit, les arrêts de la respiration impactent le travail du myocarde (le muscle cardiaque du cœur). Lors de l’apnée respiratoire, le rythme cardiaque ralentit. À la reprise de la respiration, le rythme accélère vivement afin de réapprovisionner les organes en oxygène. Le rythme cardiaque est irrégulier et donc très perturbé pendant le sommeil.

À long terme, le cœur fonctionne de manière anormale, ce qui favorise l’apparition de maladies cardiovasculaires telles que l’hypertension artérielle, l’insuffisance cardiaque, la cardiopathie ischémique (ou maladie coronarienne), l’infarctus du myocarde ou l’accident vasculaire cérébral. Le risque de développer ces maladies lorsque l’on souffre d’apnée du sommeil serait multiplié par 5.

Diabète de type 2

D’après plusieurs études, le diabète de type 2 et le syndrome d’apnée obstructive du sommeil seraient liés.

La présence d’un syndrome d’apnée obstructive du sommeil aggraverait le diabète, de même que le risque de diabète de type 2 est augmenté par le syndrome.

Les apnées du sommeil peuvent-elles évoluer ?

En effet, les apnées du sommeil évoluent dans le temps, et le syndrome a tendance à s’aggraver avec l’âge. Les risques d’hypertension artérielle, de maladies cardiovasculaires et de diabète de type 2 augmentent également.

À long terme, le manque de sommeil favorise la prise de poids, qui favorise elle-même les apnées du sommeil, ainsi que l’incidence des troubles cités ci-dessus. C’est un cercle vicieux duquel il est primordial de sortir le plus rapidement possible afin de traiter les différents éléments et de prendre soin de sa santé.

Les facteurs de risque de l'apnée du sommeil

L’obésité et le surpoids constituent les principaux facteurs de risque de l’apnée du sommeil. Les maladies respiratoires sont globalement susceptibles d’apparaître chez les personnes souffrant d’obésité ou de surpoids, du fait du rétrécissement des voies respiratoires liées à l’excès de masse grasse.

  • L’apnée du sommeil peut également être favorisée si ces facteurs existent :
  • facteurs héréditaires : le risque de souffrir d’apnée du sommeil est multiplié si un ou plusieurs membres de la famille sont également atteints
  • âge : les personnes de plus de 70 ans ont plus de risque d’être touchés
  • sexe : les hommes ont deux à trois fois plus de risque d’être touchés que les femmes
  • anomalies des voies respiratoires ou de la mâchoire : si les voies respiratoires sont trop étroites ou que les amygdales trop larges, le passage de l’air risque d’être perturbé. Ces anomalies sont fréquentes chez l’enfant, et sont souvent associées à des ronflements.

Traitements et solutions pour l’apnée du sommeil

Mesures hygiéno-diététiques

L’obésité et le surpoids étant les deux principaux facteurs de risque de l’apnée du sommeil, la première mesure consiste avant tout à viser la perte de poids. Une alimentation équilibrée ainsi que la pratique régulière d’une activité physique restent les meilleurs outils pour y parvenir. La perte de poids va, d’une part, diminuer la sévérité des apnées, et d’autre part, prévenir leur apparition pour les personnes non touchées.

L’alcool et le tabac sont également à éviter, voire à supprimer pour le tabac. En effet, fumer aggrave les apnées car les voies respiratoires sont davantage inflammées.

Évitez l’emploi de somnifères. Même s’il serait tentant d’en prendre, ils vont relâcher les muscles de la gorge et de la langue, et donc augmenter la sévérité des apnées.

Méthodes naturelles

Coquelicot

Le coquelicot est connu pour être une plante adoucissante. Elle contient également de la rhœadine, un alcaloïde qui a un effet sédatif. Les propriétés apaisantes du coquelicot accompagnent naturellement les troubles du sommeil. Le coquelicot est également utilisé pour atténuer l’agitation, l’irritabilité et les crispations.

Le coquelicot est commercialisé en gélules et en comprimés. Ses fleurs sont utilisées en infusion.

Eschscholtzia de Californie

Également connu sous le nom de pavot de Californie, l’eschscholtzia de Californie contient des alcaloïdes aux effets sédatifs. Il aide à améliorer la qualité de vos nuits, notamment en facilitant l’endormissement.

L’eschscholtzia de Californie peut être consommé en infusion ou en gélule.

Passiflore

La passiflore est utilisée notamment en phytothérapie pour ses propriétés bénéfiques sur les troubles du sommeil. Elle aide notamment à la relaxation, au repos et à la sensation de calme.

La passiflore se consomme sous différentes formes : infusion, ampoule buvable, gélule, comprimé et liquide. Vous pouvez la retrouver dans certains compléments alimentaires naturels.

Riboflavine

La riboflavine est le nom scientifique de la vitamine B2. Parmi ses nombreux rôles, elle contribue notamment à protéger les cellules contre le stress oxydatif et à réduire la fatigue.

Dans l’alimentation, la riboflavine se trouve dans les aliments d’origine animale : produits laitiers et abats sont les plus riches, mais les œufs, viandes et poissons en contiennent également ! Du côté des aliments d’origine végétale, les légumes verts sont relativement riches en riboflavine.

La riboflavine existe également sous forme de complément alimentaire, en gélules ou en comprimés.

Magnésium

Le magnésium est un des minéraux essentiels à l’organisme, ses rôles sont multiples et indispensables. Au niveau du sommeil, le magnésium contribue à un fonctionnement normal du système nerveux et à sa relaxation. Ce phénomène induit une sensation de détente et vous aide à mieux dormir.

Les sources alimentaires principales de magnésium sont :

  • les noix et oléagineux (noix du Brésil, amandes, noix de cajou, noix…)
  • le chocolat noir
  • les légumineuses (soja, haricots blancs, lentilles, pois...)
  • certaines eaux minérales

En complément alimentaire, le magnésium se présente sous forme de gélules, de comprimés, de poudres à diluer ou de solutions à boire.

Traitements mécaniques

Évitez de dormir sur le dos, c’est dans cette position que les voies respiratoires sont les plus rétrécies. On conseille généralement de dormir sur le côté pour réduire les apnées du sommeil. Pour vous aider, il existe des pyjamas permettant le maintien de cette position grâce à une balle cousue dans le dos.

L’ouverture des voies respiratoires peut être facilitée si vous inclinez votre lit afin de dormir en position légèrement surélevée : votre cou et votre torse sont donc légèrement inclinés.

Le traitement par ventilation à pression positive continue (PPC) est le principal traitement de l’apnée du sommeil. Il s’agit d’un appareil à porter la nuit qui souffle de l’air de manière continue, permettant ainsi aux voies respiratoires de rester ouvertes et donc de supprimer les apnées. C’est un traitement efficace mais qui peut être désagréable à porter au début, il faut être patient et s’y habituer. Grâce à la diminution des apnées, la qualité de vie s’améliore et le risque de maladies cardiovasculaires est diminué.

En cas de syndrome d’apnée du sommeil léger ou modéré, vous pouvez également porter une orthèse d’avancée mandibulaire. C’est une gouttière moulée par le dentiste. Elle se porte également la nuit et va faciliter le passage de l’air durant le sommeil. Ces appareils sont plus faciles à porter que les PPC, mais ils sont également moins efficaces.

Traitements médicamenteux

À ce jour, aucun médicament ne permet de traiter ou supprimer les apnées du sommeil.

L’apnée du sommeil chez l’enfant

L’apnée du sommeil ne touche pas que les adultes, les enfants peuvent également en souffrir. On estime qu’environ 2% des enfants âgés de deux à six ans sont touchés. Dans la majorité des cas, l’apnée du sommeil chez l’enfant est due à une hypertrophie des amygdales et des végétations. Elle peut aussi être liée à une malformation, notamment des maxillaires.

Tout comme les adultes, les enfants et les adolescents en surpoids sont davantage exposés au risque d’apnée du sommeil.

Comment la détecter ?

Lorsque l’enfant souffre du syndrome d’apnée du sommeil, divers signes peuvent alerter les parents :

  • des ronflements audibles ;
  • des pauses respiratoires durant le sommeil ;
  • un sommeil perturbé, saccadé ;
  • de la fatigue, de l’irritabilité ou de l’hyperactivité dans la journée

Quand et qui consulter ?

Si les signes cités ci-dessus ont été constatés, il est nécessaire de consulter un médecin.

Divers examens sont alors effectués afin d’établir un diagnostic : un examen morphologique maxillo-facial, un examen ORL et l’évaluation de la courbe staturo-pondérale.

Si le diagnostic est confirmé, une prise en charge pluridisciplinaire est alors recommandée : pédiatre, ORL, orthodontiste et kinésithérapeute peuvent intervenir.

Comment la traiter ?

Chez l’enfant, le syndrome d’apnée du sommeil se traite en ciblant la cause. Si les amygdales ou les végétations sont à l’origine des apnées, un rendez-vous avec un ORL sera nécessaire, si le problème vient de la dentition, le rendez-vous sera pris auprès d’un dentiste. Dans le cas l’obésité ou le surpoids sont mis en cause, la perte de poids fera partie du traitement et une consultation auprès d’un(e) diététicien(ne) est recommandée.

Parfois, il est possible de porter un appareil la nuit afin de mieux respirer.

Quels sont les risques pour l’enfant ?

Le syndrome d’apnée du sommeil chez l’enfant peut dégrader leur développement. Les enfants concernés peuvent souvent souffrir d’hyperactivité, de difficultés d’attention et de concentration. On remarque également des changements d’humeur fréquents.

L’apnée du sommeil chez les bébés

L’apnée du sommeil chez le nourrisson peut être partielle, le débit respiratoire est amoindri, ou totale, les échanges d’oxygène entre les organes sont alors interrompus. Ce manque d’approvisionnement en oxygène va altérer les fonctions de l’organisme, et peut avoir des conséquences sur le développement de l'enfant, notamment au niveau cérébral.

Le principal signe est le ronflement, presque semblable à celui d’un adulte. Il ne doit pas être pris à la légère car il peut cacher un réel trouble respiratoire.

La cause majeure est le diamètre des voies respiratoires qui est évidemment plus petit que celui des adultes. Mais certains bébés ont des voies plus étroites que d’autres, ce qui limite ou bloque le passage de l’air. Les raisons d’un diamètre plus étroit peuvent être anatomiques ou inflammatoires (en lien avec plusieurs infections par exemple).

Tout comme les enfants plus âgés, les bébés présentant une hypertrophie des amygdales, une anomalie anatomique de la mâchoire ou un surpoids sont aussi prédisposés au syndrome d’apnée du sommeil.

L’apnée du sommeil chez le nourrisson peut avoir des retentissements à long terme : hyperactivité, altération de la dentition, prédisposition aux complications existantes à l’âge adulte.

Les troubles doivent être corrigés le plus rapidement possible afin de prévenir et éviter les complications.

Le syndrome d’apnée du sommeil affecte grandement les personnes touchées et ce, de nuit comme de jour. Toutefois, nous avons vu dans cet article qu’il existe divers moyens pour soulager naturellement vos maux. Prendre soin de sa santé et la prévenir à long terme des difficultés doit être une priorité accessible pour chacun. Grâce à cet article, nous espérons que vous aurez découvert une ou plusieurs solutions supplémentaires, et que certaines vous conviendront pour ainsi améliorer votre quotidien.

 

Camille MARTEL

Rédactrice spécialisée en nutrition